L’Empreinte française

Jean-François SAMLONG. Union pour la défense de l’identité réunionnaise (UDIR). Roman. (2005) 2022. 9782878630923

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Union de défense de l’identité réunionnaise (Udir)
Jean-François SAMLONG

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4ème de couverture
Dans son roman à caractère autobiographique, l’auteur a éprouvé le besoin de revenir aux sources de son adolescence, de la raconter telle qu’il l’avait vécue. Descendant d’un grand-père chinois, l’auteur est un enfant métis élevé par sa grand-mère, une sang-mêlé qui lui a transmis l’amour de le culture réunionnaise, tandis que l’école lui transmettait l’amour de la culture française. Cette double appartenance culturelle est au coeur de ce roman. Au coeur d’une île de l’océan Indien où l’expérience du métissage, de la machine à métisser, est quotidienne et a valeur d’identité, cimentée autant par l’empreinte historique française que par l’usage revendiqué du créole.
Un roman très réussi qui, par son style éblouissant et évocateur, est à mettre entre toutes les mains.

1ère édition
L’Empreinte française. Jean-François SAMLONG. Le Serpent à Plumes – Fiction. Roman. 2005. 9782268053318

4ème de couverture
Sous le prétexte du roman, l’auteur a éprouvé le besoin de revenir aux sources de son adolescence, de la raconter telle qu’il l’avait vécue. Descendant d’un grand-père chinois, Jean-François Samlong est un enfant métis élevé par sa grand-mère, une sang-mêlé qui lui a transmis l’amour de la culture réunionnaise, tandis que l’école lui transmettait l’amour de la culture française. Cette double appartenance culturelle est au cour de ce roman. Au cour d’une île de l’océan Indien où l’expérience du métissage, de la machine à métisser, est quotidienne et a valeur d’identité, cimentée autant par l’empreinte historique française que par l’usage revendiqué du créole. Ce roman d’initiation, qui fait la part belle à la découverte de l’amour et aux jeux de l’érotisme, raconte aussi le quotidien du petit peuple de La Réunion. Relations avec les esprits, croyances populaires, rites immuables des lavandières transmis par l’infatigable grand-mère qui avait sa roche à laver (et à rêver) au bord de la rivière. L’écrivain se souvient aussi avec nostalgie de son grand-père auquel il s’est opposé au moment de la guerre du Vietnam, chacun défendant son camp. Ce qu’il regrette évidemment aujourd’hui. La jeunesse de Jean-François Samlong fut bercée par de douces et fortes présences féminines qui lui donnèrent le goût de continuer à vivre et d’entreprendre, et son rapport aux femmes a toujours été placé sous le désir de signer une trêve, de rétablir la paix, enfin. Un roman très réussi qui, par son style éblouissant et évocateur, est à mettre entre toutes les mains.

Le Serpent à Plumes – Numéro 21

Nuruddin FARAH – Pramoedya Ananta TOER – Nadine GORDIMER – Abdourahman A. WABERI – Jean-Pierre RICHARD – Anwar RIIDHWAN – Jean-François SAMLONG – Romesh GUNESEKERA – Jean-Luc RAHARIMANANA – Carl DE SOUZA (Texte) – Gilles AILLAUD (Peintures). Le Serpent à Plumes – Récits et fictions courtes. Nouvelles. 2003 (Automne 1993). 9782842610159

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Carl DE SOUZA
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Récits et fictions courtes
Nuruddin FARAH
Pramoedya Ananta TOER
Nadine GORDIMER
Abdourahman A. WABERI
Jean-Pierre RICHARD
Anwar RIIDHWAN
Jean-François SAMLONG
Romesh GUNESEKERA
Jean-Luc RAHARIMANANA
Carl DE SOUZA avec Le raccourci

Le Nègre blanc de Bel-Air

Jean-François SAMLONG. Le Serpent à Plumes – Fiction. Roman. 2002. 9782842613488

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4ème de couverture
Saint-Denis de la Réunion. A Songol, jeune esclave africain, Philippe Boisvilliers, riche propriétaire de plantations de cannes à sucre, a lancé un jour en souriant qu’il serait son ” nègre blanc “. Depuis ce jour, Songol a vécu dans la maison avec les Blancs : on lui a donné une éducation de Blanc auprès du fils Paul-Henri et de la fille Héloïse. Mais il n’a plus d’identité, il est perpétuellement à se questionner sur tout et à hésiter sur l’attitude à avoir. 1er décembre 1848, à la veille de l’abolition de l’esclavage, les Boivilliers sont aux aguets dans leur propriété de Bel Air. Un complot serait ourdi contre eux par des Noirs marrons assoiffés de vengeance. Le jour de l’attaque vient : on tente d’assassiner Philippe Boisvilliers. L’affront est insupportable pour Paul-Henri. La battue et le massacre vont commencer dans les forêts de l’île, sous la houlette du Matamor, chasseur de nègres marrons fugitifs. Le tout sous l’oeil de Songol, lequel va incarner toutes les déchirures de ce tournant historique et la conscience d’une nouvelle ère.