Zoura femme bon Dieu

Jean-François SAMLONG. Éditions caribéennes. Roman. 1988. 9782876790209

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Jean-François SAMLONG

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Librairie Gerard

4ème de couverture
Dans un village perdu dans les montagnes, au coeur de l’île de La Réunion, où s’est réfugiée une communauté d’esclaves ayant fui leurs maîtres, vit Zoura, une beauté ensorceleuse qui attire les hommes et le malheur. Qui est-elle ? Femme bon Dieu ou incarnation du Mal ? Entre surnaturel et réalité, religion et magie ce roman met en scène une page douloureuse de l’histoire de l’île.

L’île-femme – Poésie réunionnaise au féminin

Jean-François SAMLONG – Agnès GUENEAU – Collectif. Union pour la défense de l’identité réunionnaise (Udir). Poésie. 1987

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Union pour la défense de l’identité réunionnaise (Udir)
Isabelle HOARAU
Jean-François SAMLONG

4ème de couverture
Cet ouvrage rassemble plus de deux cents poésies écrites par plus de quarante Réunionnaises, dont la célèbre Célimène, née en 1806 du côté de la Saline, sur la côte Ouest de la Réunion. On y trouve aussi des œuvres contemporaines, de Claire Karm ou Jacqueline Farreyrol, en passant par Madeleine Mallet ou Marie-Ange Velonaly

Les auteurs
Isabelle HOARAU pour Exotisme, Tsilaosa, Fantasme, Danse et Cyclone

Pour les bravos de l’empire – L’île de la Réunion des années 1939-1945

Jean-François SAMLONG. Jacaranda – La Réunion et son histoire. Roman. 1987. 9782904470059

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Jean-François SAMLONG

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Librairie Gerard

4ème de couverture
Le gouverneur Aubert était considéré par tous comme l’empereur de l’île. C’était un homme froid, orgueilleux, autoritaire, et ce soir-là, en offrant le premier banquet de l’année aux notables de la ville, il savait pertinemment que tous seraient à ses pieds. Il attendait ses invités, un petit sourire narquois au coin des lèvres, plus sûr de lui que jamais. L’Italie était entrée en guerre contre la France qui s’écroulait sous la mitraille des blindés allemands. Là-bas, c’était le fracas de la guerre et de la défaite, ici l’attente d’un triomphe et l’on savourait le feu intérieur du patriotisme. Les médailles et décorations, celles de 14-18, fleurissaient sur la poitrine des Anciens Combattants. Quant aux jeunes, ils n’attendaient qu’un seul mot d’ordre pour se jeter dans la bataille. Les filles brodaient sur de fins mouchoirs le prénom de leur fiancé, en écoutant d’une oreille attentive le cri de guerre lancé sur Radio Saint-Denis par une voix nasillarde.