Les petits plaisirs de Mafate – École d’Îlet à Bourse – Île de La Réunion

Collectif – Anne-Christine GIMENEZ (Texte) – Laurent ZITTE (Photographies). Éditions Orphie. Album jeunesse. 2013. 9782877631952

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Éditions Orphie
Anne-Christine GIMENEZ – Sultane GIMAC

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4ème de couverture
Voici une île de la Réunion inattendue et singulière, vue de l’enfance et de ses menus plaisirs, ceux que la mémoire garde toujours : Au cœur de l’île, là où les montagnes font le paysage, des enfants du cirque de Mafate nous invitent à partager quelques plaisirs simples de leur vie, sous l’objectif d’un photographe attentif toujours aux gens d’ici, à leurs gestes les plus doux, comme celui de poser un caillou encore chaud de soleil sur sa joue. Cet album est la trace d’un long travail pédagogique centré sur la reconnaissance et la valorisation du vécu quotidien comme étape essentielle vers l’apprentissage du français. Il a été mené autour de la langue maternelle des enfants, inséparable de leurs gestes et de leurs comportements qui restent enracinés dans la culture créole et rejoignent à la fois l’universel enfantin.

Le Serpent à Plumes – Numéro 21

Nuruddin FARAH – Pramoedya Ananta TOER – Nadine GORDIMER – Abdourahman A. WABERI – Jean-Pierre RICHARD – Anwar RIIDHWAN – Jean-François SAMLONG – Romesh GUNESEKERA – Jean-Luc RAHARIMANANA – Carl DE SOUZA (Texte) – Gilles AILLAUD (Peintures). Le Serpent à Plumes – Récits et fictions courtes. Nouvelles. 2003 (Automne 1993). 9782842610159

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Carl DE SOUZA
Jean-François SAMLONG

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Récits et fictions courtes
Nuruddin FARAH
Pramoedya Ananta TOER
Nadine GORDIMER
Abdourahman A. WABERI
Jean-Pierre RICHARD
Anwar RIIDHWAN
Jean-François SAMLONG
Romesh GUNESEKERA
Jean-Luc RAHARIMANANA
Carl DE SOUZA avec Le raccourci

Guerre

Charles-Mézence BRISEUL. Sens & Tonka – Hostilité 10 / Vingt. Récit. 2003. 9782845340527

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Charles-Mézence BRISEUL

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4ème de couverture
« Maman, moi aussi je commence à disparaître à mesure que j’entrevoie ma complète indépendance. Ma guerre trouve une issue dans cet effacement. L’invisibilité de l’ennemi nourrissait mon imagination. La disparition rend mon imagination diaphane. Je n’imagine plus rien. Le flux des images mentales est stoppé. Maman, avec ça, je trouve quelque chose, même s’il devient un peu absurde d’être où je suis, à ceci près que l’on y disparaît. Maman, je pense que vous me comprendrez, j’espère. »