Didier MURAT

Auteur

 d.murat751@laposte.net
 Consultez les dédicaces

Né à La Réunion, Didier Murat, inspecteur auditeur bancaire, est diplômé de l’IAE d’Aix-en-Provence et de l’IFG Paris. Ancien chargé d’enseignement à l’Université de La Réunion et ancien formateur agréé DDTE FP dans le cadre de l’ACCRE (actuel Nacre) afin d’aider les chômeurs à la gestion de leur projet d’entreprise, il est aujourd’hui membre de la Société académique Arts-Sciences-Lettres Paris, du Collège Lettres de l’Académie Arts et Sciences de la Mer et des Amis du Musée de la Compagnie des Indes de la ville de Lorient. Il œuvre également au sein de diverses associations. Il est l’auteur de Créer son entreprise à La Réunion ce département français d’outre mer, d’Approche de l’environnement à l’attention de ses étudiants et de plusieurs ouvrages aux éditions Amalthée.

Autres publications
Créer son entreprise à La Réunion ce département français d’outre mer. Didier MURAT. Autoédition. 1997
Approche de l’environnement. Didier MURAT. Autoédition. 1997

Contributions aux arts, sciences et lettres, de La Réunion à la République française… Contributions des arts, sciences et lettres, de la France aux signes monétaires de La Réunion, racontées à nos enfants
À partir de quelle époque la numismatique fut traitée comme une valeur artistique ? Afin de présenter des caractéristiques esthétiques (Arts…), les objets de ce domaine sont le fruit de techniques complexes de travail des métaux et alliages précieux (Sciences…) et délivrent un message historique (Lettres…). À la Réunion, quels ont été les apports créoles aux “Arts-Sciences-Lettres”, un éclairage inattendu mais combien nécessaire pour comprendre notre place au sein de la République au fil de l’Histoire et, pourquoi pas, appuyer ainsi un projet de mise en place de notre propre Musée d’art monétaire ?

Manifestations
2019 Salon du livre Athéna de Saint-Pierre (La Réunion)

Consultez les dédicaces

12/01/2021

Yamen MANAI

Écrivain
 Elizad - Bel abîme
 Elizad - L'amas ardent

Bel abîme (Elizad)
Lauréat du Prix du Roman Métis des Lycéens 2022
Mention spéciale du Prix du Roman Métis des Lecteurs 2022
Rencontres avec Yamen Manai, lauréat du Prix du Roman Métis des Lycéens 2022

L’amas ardent (Elizad)
Lauréat du Grand Prix du Roman Métis 2017

Né en 1980 à Tunis, Yamen Manai vit à Paris. Ingénieur, il travaille sur les nouvelles technologies de l’information. Aux éditions Elyzad sont également parus ses romans La marche de l’incertitude (poche, 2010), La sérénade d’Ibrahim Santos (2011 ; poche, 2018) et L’amas ardent (2017), récompenséspar de nombreux prix littéraires. L’amas ardent a notamment fait partie de la Sélection internationale du The New York Times 2021 et a été traduit en anglais. Il a obtenu le Grand Prix du Roman Métis en 2017. Bel abîme, publié en 2021, a reçu le Prix Orange du Livre en Afrique, le Prix Micheline, le Prix de l’Algue d’Or, le Prix Texto 2022 Université Sorbonne
Nouvelle, le Prix La Passerelle, le Prix Flaubert et a obtenu la mention spéciale du Prix Ahmed Baba de la littérature africaine.

Bel abîme. Yamen MANAI. Elizad. 2021. Roman. 9782492270444. Prix de la littérature arabe 2022 – Orange du Livre en Afrique 2022 – Prix du Roman Métis des lycéens 2022 – Mention spéciale du Prix du Roman Métis des Lecteurs 2022 – Prix Texto université Sorbonne Nouvelle 2022 – Prix de l’Algue d’Or 2022 – Prix La Passerelle 2022 – Prix Flaubert 2022 – Mention spéciale du Prix Ahmed Baba de la littérature africaine 2022 – Prix Micheline 2021

Bel abime. Yamen Manai. Elysad. Roman. 2021. 9782492270444

En savoir plus
Elizad

4ème de couverture
Je revenais du collège quand j’ai rencontré Bella. Une après-midi de novembre, morose. Un garçon triste, chétif, une tête à claques, la tête baissée, la peur qui habite ses tripes, et parfois, l’envie d’en finir. On n’imagine pas ce que ressent un enfant quand il faut qu’il se fasse encore plus petit qu’il n’est, quand il n’a pas droit à l’erreur, quand chaque faux pas prend un air de fin du monde. Mais en l’entendant, ce jour-là, j’ai redressé le menton.
Yamen Manai nous conte avec fougue le cruel éveil au monde d’un adolescent révolté par les injustices. Heureusement, il a Bella. Entre eux, un amour inconditionnel et l’expérience du mépris dans cette société qui honnit les faibles jusqu’aux chiens qu’on abat « pour que la rage ne se propage pas dans le peuple ».
Mais la rage est déjà là.

L’amas ardent. Yamen MANAI. Elizad. 2017. Roman. 9789973580924. Prix Comar d’Or – Prix des Cinq Continents de la francophonie – Grand Prix du Roman Métis 2017 – Prix Maghreb de l’ADELF – Prix Lorientales – Prix Coup de Cœur de Coup de Soleil – Prix L’Arganier des lycées français de Rabat et Tanger – Prix des Lecteurs Ecrivain.es. d’ailleurs

En savoir plus
Elizad

4ème de couverture
Aux abords de Nawa, village de l’arrière-pays, le Don, apiculteur, mène une vie d’ascète auprès de ses abeilles, à l’écart de l’actualité. Pourtant, lorsqu’il découvre les corps mutilés de ses « filles », il doit se rendre à l’évidence : la marche du monde l’a rattrapé, le mettant face à un redoutable adversaire. Pour sauver ce qu’il a de plus cher, il lui faudra conduire son enquête dans une contrée quelque peu chamboulée par sa toute récente révolution, et aller chercher la lueur au loin, jusqu’au pays du Soleil-Levant.
En véritable conteur, Yamen Manai dresse avec vivacité le portrait aigre-doux d’une Tunisie vibrionnante, où les fanatiques de Dieu ne sont pas à l’abri de Sa foudre.

MAB ELHAD

© No comment
Poète, photographe et artiste calligraphe

 Site de MAB Elhad (Poète)
 Site de MAB Elhad (Photographe)
 Site de MAB Elhad (Photographe)
 Site de MAB Elhad (Photographe)
 Blog de MAB Elhad
 mabelhad2@gmail.com

Né en 1968 à Moroni aux Comores, Mohamed Abderemane Boinafoumou effectue ses études primaires à l’école primaire d’application de Moroni, avant de fréquenter le collège de Mbouéni et le lycée Said Mohamed Cheikh.
En 1980, il s’envole pour la France et vit à Nantes avant de poursuivre des études agricoles au lycée d’enseignement professionnelle agricole (LEPA) de Luçon Pétré (Vendée).
Rentré au pays en 1985, il intègre le Centre fédéral d’appui au développement rural (CEFADER) en qualité de chef du département des aliments avicoles (Provix).
En 1987, il s’engage dans l’armée comorienne sous les couleurs de la gendarmerie et bénéficie d’une formation en police technique et scientifique au Centre de perfectionnement en police judiciaire de l’École des sous-officiers de gendarmerie (ESOG) de Fontainebleau-Paris (France). Il y apprend les rudiments de l’usage de la photographie forensique (dans le domaine judiciaire y compris la reconstitution des faits, la dactyloscopie en investigations criminelles). Ceci le conduit à devenir cumulativement à ses fonctions de directeur des enquêtes, le 1er photographe officiel de l’armée comorienne de 1985 à 2009. Après quoi, il met à profit cette formation au service de ses ambitions artistiques.
En 2009 après 22 ans de loyaux services et ayant servi avec abnégation, il prend sa retraite au grade de lieutenant de gendarmerie, pour se lancer dans une carrière civile où il occupe successivement les fonctions de 1er adjoint au maire de Moroni, puis de préfet du Centre de La Grande Comore, conseiller en sureté et sécurité du gouverneur, du ministre de l’intérieur et plus tard coordinateur national de la sûreté et la sécurité des aéroports.
En 2013, il est nommé directeur général des renseignements extérieurs à la présidence jusqu’à 2016 où il crée sa société de recouvrement, enquête et médiations (SOREM) dans laquelle il est cogérant. De mars 2018 à ce jour, il est directeur délégué de la société de sûreté et sécurité AB Air Sûreté.

MAB Elhad poète
Délégué de l’Association internationale Rencontres Européennes « Euro-poésie » aux Comores, Mohamed Abderemane Boinafoumou dit MAB Elhad participe à différentes manifestations sur la scène internationale telles que le Festival international de poésie itinérante en Afrique (FIPIA) en 2000 aux Comores et en 2001 à Antananarivo (Madagascar), le Festival inter-régional de poésie de l’océan Indien (FIPOI) en novembre 2005 et en octobre 2007 organisé par l’Union pour la défense de l’identité réunionnaise (Udir) ou les Nuits métisses à Marseille en avril 2006 dans le cadre du projet d’échange « Iyara », tournée littéraire et artistique dans les cités de Marseille où MAB Elhad assure des ateliers d’écriture de poésie et de calligraphie avec et au profit des enfants de la cité phocéenne.
Des extraits de son œuvre Kaulu la mwando, sont mis en espace par les troupes théâtrales Les Amies de Hahaya et Djoumbé, mais aussi, mis en danse chorégraphique par la troupe Bahari au Niger et à Madagascar. Des artistes tels que Soumette Ahmed, Sultan et Annabelle Catau les jouent en lectures scéniques à Marseille. Il est mis aussi en musique par des artistes français et comoriens. Il participe à l’atelier de recherche Art, langue et poésie du Grand Océan à Madagascar en décembre 2005 sur invitation de la structure Lerka, à l’occasion du projet Elabakana ou le mouvement perpétuel réunissant les écrivains et les artistes de l’océan Indien et portant sur l’importance des perles dans la sous-région.
En mars 2016 à l’occasion de la Semaine de la francophonie, il séjourne à Dar Es Salam (Tanzanie), où il est convié à présenter ses œuvres photographiques et poétiques à l’Alliance française et au Restaurant l’Épi d’Or. Puis en septembre 2017 il se rend à Antananarivo (Madagascar) où il est invité par un club de jeunes poètes malgaches pour présenter ses œuvres poétiques et photographiques.

MAB Elhad photographe : Entre traces, dessins, marques et signes
MAB Elhad vient à la photo dès son plus jeune âge, grâce à son frère d’enfance et de coeur Cheikh Saidou, avec un instamatic 110 Kodak alors qu’il fréquente le cours moyen première année (CM1). Plus tard, il bénéficie de différentes expériences en traitement noir et blanc alors qu’il fréquente le club photo du lycée d’enseignement professionnelle agricole (LEPA) de Luçon Pétré (Vendée), où il poursuit ses études en agri-élevage.
MAB Elhad effectue une douzaine d’expositions dont trois collectives et neuf à titre individuel ; d’abord, pour défendre les droits de l’enfant et montrer son engagement sous l’égide de l’UNICEF à Moroni, puis en compagnie du représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé, Kalambay Kalula, lui-même poète. Suivent d’autres expositions collectives, telles que Scène de vie aux Comores, en compagnie d’autres photographes, notamment Cheha Maaloume photographe à la présidence de la république et le photographe Medass, ou  individuelles comme Nature morte signée MAB Elhad. Ses dernières expositions remontent aux Printemps des poètes de 2016 et 2017 respectivement au Centre de création artistique et culturelle des Comores (CCAC) Mavuna et à l’Alliance française Ex poétique des œuvres calligraphiques et photographiques inspirées de son dernier recueil de poèmes Regard biaisé.
MAB Elhad effectue par ailleurs trois sorties internationales, en l’occurrence l’exposition faite à la Médiathèque François Mitterrand de Saint-Denis La Réunion en 2004, sur invitation de l’Union des artistes réunionnais (Udar) en compagnie des artistes plasticiens comoriens Séda et Chacri, mais aussi les deux expositions photos effectuées à Marseille au Crous de Marseille et à l’université de droit Aix-en-Provence, à l’Espace culturel Méditerranée – Nomad’ Café en 2007. À La Réunion, MAB Elhad est récipiendaire du trophée photo de l’Union des artistes réunionnais (Udar) obtenu au cours du Carrefour des artistes de l’océan Indien. Le Quotidien de La Réunion qualifie alors MAB Elhad d’artiste polymorphe.

MAB Elhad poète et photographe
En mars 2016 à l’occasion de la Semaine de la francophonie, il séjourne à Dar Es Salam (Tanzanie), où il est convié à présenter ses œuvres photographiques et poétiques à l’Alliance française et au restaurant l’Épi d’Or. Puis en septembre 2017, il se rend à Antananarivo (Madagascar) où il est invité par un club de jeunes poètes malgaches pour présenter aussi ses œuvres poétiques et photographiques.
MAB Elhad expose dans le genre de la surimpression, le reportage et la nature morte.
Il participe à l’atelier de recherches Art, Langue et poésie du Grand Océan à Madagascar en décembre 2005 sur invitation de la structure Lerka, à l’occasion du projet Elabakana ou le mouvement perpétuel réunissant les écrivains et les artistes de l’océan Indien, et portant sur l’importance des perles dans la sous-région.
En 2016, des extraits de son premier recueil Kaulu la mwando figurent sur les billets de banques comoriens de 1000 et de 2000 francs kmf, en mini lettres rouges. Son dernier recueil Regard biaisé contient des photographies illustrant certains de ses poèmes.

Très inspiré par les us et coutumes de son pays, MAB Elhad projette de publier des livres sur l’histoire des sites touristiques comoriens dans leurs aspects mythologiques (entre croyances, animismes et mythes) l’autres projet de publication porterait sur l’illustration des proverbes et adages comoriens.

Regard biaisé – Entre le temps et l’espace (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Je ne suis pas allé à la poésie, c’est la poésie qui est venue à moi » L’aveu lui a glissé innocemment  entre les doigts lors de la présentation, le 10 février 2004, de son premier recueil, Kaulu la mwando.
Aujourd’hui MAB Elhad publie son deuxième recueil : trente-six poèmes écrits entre 1980 et 2002, qui « puisent dans l’identité comorienne » pour donner « une poésie engagée, car le poète n’est pas un prophète, mais un messager qui mène un combat pour l’épanouissement de certaines valeurs et d’un certain idéal auxquels il croit.

Prix et distinctions
2004 Trophée photo de l’Union des artistes réunionnais (Udar) au Carrefour des artistes de l’océan Indien

Manifestations
2021 Semaine du Festival international de photographie de la SEPHOB (Bénin)
2016 Semaine de la francophonie à Dar es Salam (Tanzanie)
2007 Festival inter-régional de poésie de l’océan Indien (FIPOI) à La Réunion
2006 Nuits métisses (Marseille)
2005 Festival inter-régional de poésie de l’océan Indien (FIPOI) à La Réunion
2001 Festival international de poésie itinérante en Afrique (FIPIA) à Antananarivo (Madagascar)
2000 Festival international de poésie itinérante en Afrique (FIPIA) aux Comores

01/08/2019