Archives de catégorie : Pays

Guy MEYER

Écrivain

 Facebook de Guy Meyer
 meyer.g@wanadoo.fr
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Guy Meyer est établi à La Réunion depuis 1989. Son parcours de professeur de lettres le conduit dans différents établissements de l’île, le lycée Leconte de Lisle ou encore la faculté des lettres du Moufia.
Depuis quelques années, il s’intéresse à des civilisations qui lui paraissent conserver une part de mystère. Ainsi, le regard porté sur un pan d’histoire des Seychelles débouche sur La Maison jaune. Par ailleurs, un séjour sur l’Île de Pâques l’amène à l’écriture de son second roman Île de Pâques à l’abri d’un pukao. Il estime que le roman permet de faire revivre, plus vivement qu’un documentaire, les fondements culturels de ces régions.

Île de Pâques à l’abri d’un pukao (4e de couverture du dernier ouvrage)
Sur un bout de terre qui, à cette époque, ne se nommait pas encore « l’île de Pâques », le jeune Ahito porte un regard critique sur les coutumes de son monde. Ce monde lui semble régi par des règles et des autorités bien trop sclérosées.
Grâce à une mystérieuse adolescente, son rêve d’un ailleurs et d’un retour aux sources prend forme peu à peu. Par la même occasion, il fait le délicat apprentissage des comportements et des secrets féminins. Bien des mystères entourent encore la culture « rapanui ». L’auteur de ce roman a tenté d’éclairer certaines croyances et pratiques de ce peuple énigmatique.

Manifestations

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26/10/2023

Chantal MICHEL

Auteure

 chantal.schaefer@orange.fr
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Née le 23 février 1946 à Alger, Chantal Michel-Schaefer est veuve depuis 2018. Elle a deux enfants. Elle a vécu à La Réunion de 1973 à 1976, puis de 1996 à 2000 et depuis 2002.
Elle est diplômée de l’Institut d’études politiques, d’une licence d’histoire et géographie, d’un Capes, d’un diplôme de CFC (conseillère en formation continue).
Elle acquiert son expérience professionnelle dans différents départements métropolitains ou d’outre-mer, en Haïti et au Tchad notamment.
Elle travaille comme professeure dans l’éducation nationale (formation initiale et continue), et aussi comme journaliste, ou comme organisatrice de concerts.
À la retraite, elle crée à Saint Pierre de La Réunion l’Université pour tous du Sud-Réunion (UPTS). Cette association propose une cinquantaine d’activités à prix modestes au niveau culturel, artistique, manuel et sportif et regroupe 800 adhérents au temps de sa présidence de 2008 à 2018. Elle doit également s’investir comme « conciliatrice de justice » au profit des demandeurs du Sud de La Réunion.
Après avoir édité en 2018 son premier roman, en grande partie autobiographique sur une année particulièrement marquante de son adolescence Une méduse au soleil, où elle expose la difficulté de vivre transplantée de son milieu d’origine ensoleillé, elle s’apprête à écrire la suite qui lui est demandée par ses lecteurs.

Sirocco et alizés (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Ils ont eu une vie nomade et palpitante.
Lui, Philippe, officier au combat au Tchad, conseiller d’ambassade en Haïti en prise à un coup d’État, sous-préfet engagé sur le terrain et les manifestations La Réunion, préfet en métropole.
Elle, Chantal, professeure, journaliste, organisatrice de concerts et fondatrice d’une des plus grandes associations de l’île de La Réunion.
Pendant plus d’un demi-siècle, avec leurs deux enfants, ils ont construit ensemble une vie pleine de découvertes, jamais monotone.
Elle reprend la plume après son premier témoignage sur le départ d’Algérie, dans Une méduse au soleil.
Elle croise ses souvenirs avec ceux de son époux, dans leurs pérégrinations à travers le monde et particulièrement sous les tropiques : après l’Afrique, au Tchad, puis à La Réunion et Maurice, la Nouvelle-Calédonie, l’île des Pins, Wallis, Mayotte, Haïti…
Elle les assemble en une sorte de drapeau de prières tibétain.
Poussés par le sirocco de leur terre natale, l’Algérie, ils découvrent les alizés.
C’est à La Réunion qu’ils ont jeté l’ancre.
Ils racontent…

Manifestations
2021 Salon du livre réyoné (Saint-Leu – La Réunion)
2019 Salon du livre Athéna de Saint-Pierre (La Réunion)

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07/05/2019

Pascale MOIGNOUX

Auteure

 moignouxpascale@orange.fr
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Née d’un père berrichon et d’une mère bretonne, Pascale Moignoux passe son enfance et son adolescence : au Cameroun, au Congo, en Centrafrique et en Nouvelle-Calédonie.
Elle fait ses études supérieures à Paris et est diplômée de l’Institut des relations internationales ainsi que de l’École française d’attachés de presse.
Avec son époux, elle adopte trois enfants : un au Viêt Nam et deux à Madagascar.
La famille vit à La Réunion depuis plus de vingt ans, et c’est dans ce département français de l’océan Indien que Pascale concrétise sa passion pour l’Histoire et l’écriture. Ses premiers pas d’écrivaine bénéficient du soutien et des précieux conseils de Daniel Vaxelaire, et sûrement aussi du soutien spirituel de son grand-oncle, le Père Clément Raimbault, une grande figure missionnaire de l’océan Indien.
Chaque biographie et roman de cette autrice tendent à mettre en valeur ses racines bretonnes et berrichonnes biologiques, en communion avec ses racines réunionnaises et malgaches choisies et adoptées.
Dans le même esprit, chacun de ses ouvrages a pour but déclaré de sauver un pan oublié du patrimoine de l’océan Indien, et de réhabiliter des mémoires injustement effacées :
– la léproserie de Saint-Bernard pour la biographie du Père Clément Raimbault ;
– le pénitencier pour enfants de l’ïlet à Guillaume pour Graine de Bagnard ;
– l’établissement pour jeunes Malgaches de La Ressource pour Riana ;
– le cimetière français de Mohéli pour les deux tomes consacrés à Joseph Lambert, Pour l’Empereur et pour ma Patrie.
– le mausolée de Nicole Robinet de La Serve à Saint-André pour son Journal d’un Franc-Créole.
Dans le domaine de l’évènementiel, en partenariat avec la ville de Saint-Denis, le département de La Réunion, et en collaboration avec les artistes Bernadette Ladauge et Sylviane Pieribattesti, elle co-organise en 2004 et 2005 des manifestations en mémoire du Père Clément Raimbault sur les sites de La Délivrance, du Moulin Kader et de la Léproserie de Saint-Bernard (spectacle son et lumière, pièces de théâtre, exposition, évènement philatélique, plantes médicinales, conférences).
À partir de 2006, elle mène de nombreuses actions en faveur de la sauvegarde de l’ancien pénitencier pour enfants de l’Îlet à Guillaume (1864-1879) aboutissant à la protection au titre des monuments historiques en novembre 2007, et à la réhabilitation du sentier historique d’accès en 2017 (en partenariat avec le département, l’ONF et la Commission Sentiers et patrimoine).
En novembre 2009, elle se joint à un projet de commémoration multiconfessionnelle initié par la Docteure Alice Ranorojaona Pélerin, en mémoire des enfants décédés à l’établissement religieux de La Ressource (1847-1872) à l’occasion du 20e anniversaire de la Convention des droits de l’enfant. Se joignent à la manifestation : les associations Ny Valiha et Dia 50, l’anthropologue Charlotte Rabesahala Randriamananoro, et le groupe interreligieux.
En 2015, avec un collectif d’habitants de La Montagne / Saint-Bernard, elle dépose un dossier de demande d’inscription de la léproserie de Saint-Bernard auprès de la direction des affaires culturelles de l’océan Indien (DAC-OI). Après avis favorable de la commission, le préfet de La Réunion notifie l’inscription au titre des monuments historiques de : la léproserie, ses cachots et du cimetière dit « des lépreux ».
La même année, elle crée avec le graphiste Emmanuel Kamboo et Martine Akhoun de la direction des affaires culturelles de l’océan Indien (DAC-OI), l’exposition permanente sise dans la cour de ladite léproserie (rédaction des textes, recherche et choix de l’iconographie) qui est inaugurée par la Ville de Saint-Denis à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine.
En 2018, elle intègre l’équipe en charge de la mise en place de l’évènement national « C’est notre Patrimoine », visant sur à mettre en valeur le patrimoine du quartier de La Providence à Saint-Denis. À côté des ateliers théâtre, fonnkèr, des expositions photos, du diorama, elle prend en charge les visites guidées historiques et la conférence historique sur le domaine spiritain (1856-1879).

Le Vazaha du Prince (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Le Vazaha du Prince est le premier des deux tomes consacrés à l’aventurier Joseph Lambert (1824-1873), marin breton à l’étonnant destin, alliant une ambition démesurée à un indéniable charisme. Époux d’une riche veuve de l’île Maurice, Joseph Lambert devient à 22 ans l’un des plus gros planteurs de l’océan Indien. Mais bientôt, il se tourne vers un pays à la mesure de ses aspirations : Madagascar, où règne Ranavalona Ire (1788-1861), dite « la Sanglante »… Enfin une terre et une adversaire à sa mesure ! Reste que l’Île Rouge obéit à des forces que le vazaha (l’« étranger blanc » en malgache) ne maîtrise pas. Les démarches entreprises auprès de Napoléon III et de Londres permettront-elles à Joseph Lambert de parvenir à ses fins ? Cette passionnante « biographie romancée », préfacée par l’historien réunionnais Loran Hoarau, spécialiste des projets de recherche liant Histoire et Patrimoine, est le fruit d’un travail rigoureux qui interroge les ambitions coloniales européennes dans l’océan Indien du XIXe siècle.

Manifestations
2022 Salon du livre péi (Saint-Paul – La Réunion)
2021 Salon des auteurs et éditeurs péi (Saint-Paul – La Réunion)

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05/07/2020