Concours de bleus

Jean-Louis ROBERT. L’Harmattan – Lettres de l’océan Indien. Nouvelles. 2009. 9782296100282

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L’Harmattan
Jean-Louis ROBERT

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4ème de couverture
Un couple de paumés, dans le labyrinthe de la gare du Nord, joue à se lancer les bleus des autres. Pour oublier ceux que la vie leur a balancés. Car vivre, c’est se faire des bleus, partout : dans les rues de Port-Louis, où un homme rôde en quête de jeunes filles à qui offrir des roses rouges et… ; en Palestine, où un soldat israélien se débat dans une grave crise existentielle ; au sommet du Piton des neiges, où un photographe amoureux d’un mannequin cherche à capter l’image absolue de l’amour ; et même à Sodome.

Oraisons vespérales

Adjmaël HALIDI. L’Harmattan – Poètes des cinq continents. Poésie. 2009. 9782296099753

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L’Harmattan
Adjmaël HALIDI

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4ème de couverture
Voyager avec Adjmaël Halidi, c’est s’envoler au-delà des frontières. D’ailleurs, on n’y songe pas, mais le rêve ne s’aliène pas de barrières. “Au commencement était la parole…” et voilà le verbe d’Ajmaël. Ses maux cauchemardesques se lient presque d’amitié avec la rêverie, non éphémère. Il nous invite à une traversée poétique, par le truchement d’une histoire, d’une culture, d’une écriture, déchirées et recousues par l’auteur. Voilà l’oeuvre d’un visionnaire, qui appelle à l’amour des peuples, malgré cette misère qu’il décrit.

Henri Miller, Blaise Cendrars – Deux âmes soeurs

Nelly MAREINE. L’Harmattan – Approches littéraires. 2009. 9782296099432

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4ème de couverture
Affinités électives… Un expatrié américain, sorte d’électron libre dans le Paris des années 30 ; un écrivain français, un rebelle. Deux âmes soeurs à l’ego hypertrophié qui se reconnaissent. Après des parcours erratiques, ils émergent de la quête de la connaissance de soi pour ouvrir, enfin et malgré eux, les yeux sur le monde, regard d’une impitoyable lucidité sur la fin prochaine de l’homme occidental. Faut-il regretter qu’ils n’aient pas entrevu que l’Indien « qui prie pour notre destruction » et l’indignent d’Amazonie pour qui « les siècles s’écoulent sans rien changer à son insouciance… » allaient, eux aussi, être atteints par la « gangrène » et, finalement, engloutis dans la chute universelle ?