Roger LAVERGNE

Auteur et botaniste

 regor.engreval@orange.fr
 Consultez les dédicaces

Roger Lavergne est né en 1945 à La Mure (Isère) sur la Route Napoléon.
Il est docteur ès sciences en botanique tropicale appliquée, doctorat soutenu à Monptellier sous le titre Tisaneurs et plantes médicinales indigènes de l’île de La Réunion.
En 2016, il est promu chevalier de l’ordre national du mérite.
Depuis 1978, il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les plantes de La Réunion.

Plantes & religions passions à l’île de La Réunion. (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Saviez-vous que le lotus blanc ou rose (Nelumbo nucifera), plante issue du ventre des eaux douces, était la fleur nationale du continent indien ? Habillée de rouge, avec un nombre variable de pétales, c’est une des fleurs sacrées de l’hindouisme où l’on reconnait une des principales divinités : Brahma, Shiva et son fils Ganesh, Vishnou. Quelques herbes font partie du panthéon hindou. Outre le lotus, c’est probablement le toulasi ou basilic sacré qui est le plus souvent concerné. Mais l’âme des arbres est largement sollicitée ! Saviez-vous que Bouddha était un avatar, une incarnation de Vishnou ? L’éclosion du bouddhisme se situe bien avant la ‘’christianité’’.

Publications électroniques
Épices, aromates, condiments & assaisonnements de la cuisine réunionnaise, Roger LAVERGNE, 2004
Plantes médicinales réunionnaises. Plantes médicinales de la pharmacopée réunionnaise à rencontrer le 02.11.2004 dans les secteurs du Maïdo et de la Réserve Biologique de Bois-de-Nèfles-Saint-Paul, Roger LAVERGNE, 2004
Visite du Jardin du Roy. Visite du Jardin de l’Etat le vendredi 29 octobre 2004 pour la Société Botanique de France avec le Dr Roger Lavergne, Roger LAVERGNE, 2004
Liste des principales espèces végétales rencontrées sur l’étang de Bois Rouge. Lycée du Verger (Académie de La Réunion), E. FARITIET , Roger LAVERGNE et R. MOÏOLI, 2004

Manifestations

Consultez les dédicaces

13/04/2021

Plantes & religions passions à l’île de La Réunion

Roger LAVERGNE. Éditions Orphie. Documentaire. 2021. 9791029804267

En savoir plus
Éditions Orphie
Roger LAVERGNE

Acheter
Librairie Autrement
Librairie Gerard

4ème de couverture
Saviez-vous que le lotus blanc ou rose ( Nelumbo nucifera ), plante issue du ventre des eaux douces, était la fleur nationale du continent indien ? Habillée de rouge, avec un nombre variable de pétales, c’est une des fleurs sacrées de l’hindouisme où l’on reconnait une des principales divinités : Brahma, Shiva et son fils Ganesh, Vishnou. Quelques herbes font partie du panthéon hindou. Outre le lotus, c’est probablement le toulasi ou basilic sacré qui est le plus souvent concerné. Mais l’âme des arbres est largement sollicitée ! Saviez-vous que Bouddha était un avatar, une incarnation de Vishnou ? L’éclosion du bouddhisme se situe bien avant la ”christianité”. On peut faire un parallèle entre la Trinité chrétienne (le Père, le Fils et le Saint-Esprit) avec la Trimurti hindoue où l’on rencontre trois déités (Brahma, Shiva, Vishnou) qui ne forment en fait qu’un seul Dieu ! La Vierge Marie est indissociable de son fils Jésus. Ce dernier, fils de Dieu devient Jésus-Christ à l’heure de la crucifi xion, pour racheter les péchés de l’humanité. En cherchant bien, j’ai trouvé des plantes bibliques d’ici, associées à notre liturgie. Le catholicisme fait grand cas de la flore unie à Marie, au Christ et aux saints. Il se trouve que le protestantisme n’accorde un crédit qu’à Jésus-Christ. Pour ne prendre qu’un exemple, le docteur Albert Schweitzer, né à Kaysersberg en Alsace, n’aurait-il pas mérité l’auréole de la sainteté ? Et Albert Einstein d’écrire : « Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito ». D’après l’Internet Google, 21 plantes seraient présentes dans le Coran. Plusieurs n’existent pas à l’île de La Réunion. Certaines ont déjà pris un ”visage” dans l’hindouisme : frangipanier, henné, jasmin, rose de Damas… que les Indo-Musulmans ne doivent pas renier.

Saviez-vous que le lotus blanc ou rose (Nelumbo nucifera), plante issue du ventre des eaux douces, était la fleur nationale du continent indien ? Habillée de rouge, avec un nombre variable de pétales, c’est une des fleurs sacrées de l’hindouisme où l’on reconnait une des principales divinités : Brahma, Shiva et son fils Ganesh, Vishnou. Quelques herbes font partie du panthéon hindou. Outre le lotus, c’est probablement le toulasi ou basilic sacré qui est le plus souvent concerné. Mais l’âme des arbres est largement sollicitée ! Saviez-vous que Bouddha était un avatar, une incarnation de Vishnou ? L’éclosion du bouddhisme se situe bien avant la « christianité ».
En consultant la liste de mes publications, vous vous rendrez compte que ce nouveau livre est mon 37e ouvrage. Fils de « gueule noire » (mineur de fond), n’aurai-je pas dû rester dans le charbon en poussière de l’anonymat ? Il se trouve que bien que fils d’ouvrier, la grâce divine ne m’a pas privée de sensibilité. Ayant conscience d’être un avatar du monde végétal, l’animal humain que je suis baigne dans le bonheur des fleurs ; sans elles, mon âme serait en manque de félicité. La soif d’écrire continuera-t-elle à me titiller ? À vous lectrice ou lecteur de me dire ce que vous pensez de notre aventure livresque. Dois-je poursuivre ma verte écriture, emprunter les sentiers de nouvelles aventures ? Vous pouvez vous exprimer en rédigeant un courriel à : Regor.engreval@orange.fr

Brèdes à cuisiner

Roger LAVERGNE. Éditions Orphie. Documentaire. 2021. 9791029804892

En savoir plus
Éditions Orphie
Roger LAVERGNE

Acheter
Librairie Autrement
Librairie Gerard

4ème de couverture
Les malherbologues appellent « adventices » les « mauvaises herbes ». Mais, dans quelles circonstances sont-elles devenues de « bonnes herbes » qui purent se manger crues ou cuites (brèdes) ?
Il fallut d’abord qu’elles ne soient pas toxiques, ensuite qu’on eut vraiment faim et en même temps qu’on soit désargentés, pour oser se mettre sous les dents, ces bénignes créatures, par les gros bourgeois, dédaignées.
Alors, les deux lastrons – désignés par laiterons en France -, les pariétaires, ailleurs appelées amaranthes, prirent de la noblesse « brèdes » princesses.
Bien d’autres plantes cultivées rentrèrent dans le même giron.
L’auteur s’aventure à ouvrir le champ à bien d’autres plantes innocentes, pourvu qu’elles soient jeunes, tendres et bienvenues !