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Le malcriado – Souvenirs d’un sale gosse (4ème de couverture)
Le malcriado, le mal élevé, c’est le petit Antonio qui a poussé autrefois comme une mauvaise herbe dans la colonie portugaise de Sao Tomé, au large de l’Afrique. Aujourd’hui installé sur une autre île, La Réunion, il fait à un compatriote anonyme le récit d’une enfance marquée par la brutalité d’un père despotique, puis d’une enfance rebelle. Le thème de l’enfant maltraité et de l’adolescent révolté est presque devenu un genre littéraire, tout comme les récits de voyage.
Or, les histoires de jadis sont comme les souvenirs d’un long voyage vers l’âge d’homme. Un périple impatient et tourmenté entre les écueils de cette « mauvaise éducation » subie, puis brandie comme un défi à l’adresse d’une société coloniale bornée par les marques d’un racisme séculaire. Car le Portugal « libre et heureux » des années soixante fut soumis lui aussi à la brutalité policière du régime fasciste en place.
Brutalité dont le père et le fils auront fait en leur temps l’expérience mouvementée. Le Malcriado est une histoire de tribulations, une suite rythmée comme un spectacle avec ses scènes dramatiques ou burlesques et ses personnages qui crient, qui pleurent, qui rient et se démènent. Et Antonio galope sur les planches. A la fin, il sort brusquement de la scène, côté ciel, en échappant à sa patrie, et son récit s’achève sur un autre voyage qui « ne fait que commencer ».
Manifestations
2022 Salon du livre péi (Saint-Paul – La Réunion)
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20/10/2022
Izequiel BATISTA DE SOUZA. Éditions Thot. Roman. 2013. 9782849212530
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4ème de couverture
Le malcriado, le mal élevé, c’est le petit Antonio qui a poussé autrefois comme une mauvaise herbe dans la colonie portugaise de Sao Tomé, au large de l’Afrique. Aujourd’hui installé sur une autre île, La Réunion, il fait à un compatriote anonyme le récit d’une enfance marquée par la brutalité d’un père despotique, puis d’une enfance rebelle. Le thème de l’enfant maltraité et de l’adolescent révolté est presque devenu un genre littéraire, tout comme les récits de voyage.
Or, les histoires de jadis sont comme les souvenirs d’un long voyage vers l’âge d’homme. Un périple impatient et tourmenté entre les écueils de cette ” mauvaise éducation ” subie, puis brandie comme un défi à l’adresse d’une société coloniale bornée par les marques d’un racisme séculaire. Car le Portugal ” libre et heureux ” des années soixante fut soumis lui aussi à la brutalité policière du régime fasciste en place.
Brutalité dont le père et le fils auront fait en leur temps l’expérience mouvementée. Le Malcriado est une histoire de tribulations, une suite rythmée comme un spectacle avec ses scènes dramatiques ou burlesques et ses personnages qui crient, qui pleurent, qui rient et se démènent. Et Antonio galope sur les planches. A la fin, il sort brusquement de la scène, côté ciel, en échappant à sa patrie, et son récit s’achève sur un autre voyage qui ” ne fait que commencer “.