Couillonnades

Daniel LAURET. Éditions Orphie – Autour du monde. 2015. Roman. 9791029800313

En savoir plus
Éditions Orphie
Daniel LAURET

Acheter
Librairie Autrement
Librairie Gerard

4ème de couverture
Le texte parle de quoi ? Chut ! D’un secret de famille, à une époque où la charité chrétienne engageait les femmes à taire les couillonnades de leurs époux. En avance sur son temps, Madame Gino invente la Gestation Pour Autrui. Deux mamans pour un seul garçon : Maxime, le narrateur, ne sait plus à quel sein se vouer.

Extrait : Madame Gino levait toujours les yeux au ciel quand elle appelait mon père à la rescousse. Il n’était plus là, mais il continuait à être présent, à épauler son ex pour notre éducation, à assurer de façon posthume sa fonction paternelle. Les yeux d’un père sans visage qui voit tout et partout, les oreilles d’un père sans visage qui entend tout, ça fiche un peu la trouille. J’avais du mal à croire à ces choses-là, mais je devais m’y résoudre : mon père était un invisible. Ce qui explique peut-être que certaines « choses » aient pu passer inaperçues.

Des nouvelles de La Chaloupe

Daniel LAURET. Éditions Orphie – Autour du Monde. 2014. Nouvelles. 9782877639057

En savoir plus
Éditions Orphie
Daniel LAURET

Acheter
Librairie Autrement
Librairie Gerard

4ème de couverture
Le narrateur devenu grand a choisi La Chaloupe pour une traversée qui ne manque pas d’air. Le survol des paysages lui déroule des pages d’enfance. Le père manquant reste la pièce centrale de ce recueil où « les nouvelles » se font écho pour reconstituer une tranche de vie, celle des années 1960, avec l’humour tendre d’une écriture malicieuse et la complicité d’une tribu de parapentistes.

Raideur

Daniel LAURET. Éditions Orphie – Autour du monde. Roman. 2012. 9782877637428

En savoir plus
Éditions Orphie
Daniel LAURET

Acheter
Librairie Autrement
Librairie Gerard

4ème de couverture
Extrait : Je collectionne les journaux, Kristof. Je les ai tous. Depuis la grande première de 93. J’ai dévisagé les photos qui font, chaque mois d’octobre, la Une des quotidiens locaux. J’ai disséqué les sourires qui illuminent le visage des demi-dieux d’une joie de ressuscités, au sommet de la douleur, au pinacle du plaisir. Des sourires qui reviennent de loin. De l’autre côté de la conscience, d’un Au-delà peut-être, d’un long tunnel assurément. Pour témoigner de visions d’amour et de partage, d’éblouissements aux couleurs boréales et raconter des rencontres intenses avec des êtres de lumière. Kristof, pourquoi ne serais-tu pas de ceux qui s’en reviennent ainsi, tout retournés, d’une si belle aventure ?