Daniel VAXELAIRE

Auteur et journaliste
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Daniel Vaxelaire est né près de Nancy, mais a passé sa petite enfance dans un village des Vosges cerné par les forêts, chez ses grands-parents. Ses premiers pas puis ses premiers tours de roue, à bicyclette, l’ont mené de ruisseaux en fourrés, ce qui explique peut-être la suite.
Ses premières années de lycée à Nancy lui font découvrir, entre visites de musées et vagabondages dans la capitale de la Lorraine, le patrimoine et l’histoire, la géologie, l’architecture. Et lui donnent envie d’aller plus loin.

A 14 ans, il file, les beaux dimanches, loin de la maison familiale près d’Epinal, explore la région de ruines en cascades, pousse jusqu’en Alsace (par les cols chers au Tour de France), revient avec des saucisses et du fromage, bref se muscle les cuisses, le goût et l’esprit. Les deux années suivantes, il va se faire un peu d’argent de poche en Allemagne où il travaille l’été en usine (moulage à la chaîne de vaisselle en porcelaine, réparation de moteurs électriques de machines à coudre…) et sur l’immense base OTAN de Ramstein (peintures et taches multiples, ice-creams monstrueux, yeux écarquillés sur les Ford Mustang des pilotes…)

Armé d’un bac « sciences expérimentales », étudiant en anglais à la fac de lettres de Nancy (« parce que cette langue vous ouvre le monde »), pion dans un lycée technique d’Epinal (« parce qu’il n’était pas question de rester à la charge de ses parents »), il consacre ses vacances d’été à arpenter la planète.
Première année : Suisse, Italie, Yougoslavie, Hongrie, Autriche, Yougoslavie à nouveau, Bulgarie, Turquie, Rhodes, la Crête, Santorin, Grèce continentale, Italie et retour. Deuxième année : à peu près le même chemin (sauf la boucle en Europe centrale), mais cette fois il pousse jusqu’en Syrie et au Liban, faisant le plein de sites historiques, de Mari à Palmyre, du Krak des Chevaliers à Baalbek. Précision : les deux fois, en solitaire et en auto-stop, avec un budget minimal, qui l’amène souvent à dormir en plein air et à apprendre, dans toutes les langues, les noms des plats qui remplissent au maximum l’estomac pour un minimum de dépense.

Amaigri, mais riche de ses expériences, il tente le sort au retour de son second périple et propose le récit de ses aventures au quotidien local, la Liberté de l’Est, ses lectures et promenades lui ayant donné envie de devenir journaliste. Le rédacteur en chef propose une embauche immédiate au jeune homme. Il hésite un peu : c’est nettement moins payé que la sinécure de pion, mais c’est un si beau métier…

C’est ainsi qu’il fait ses premières armes à la rédaction locale de Saint-Dié des Vosges. Coup de chance (sauf évidemment pour la victime), un crime, événement rarissime, attire l’attention du grand patron sur sa jeune recrue, qui a rondement traité l’affaire : voici le stagiaire Vaxelaire titularisé au bout de trois mois seulement de métier, chargé d’une agence toute neuve qui se crée à Vittel, ville choisie pour les entraînements de l’équipe de France d’athlétisme. Changement de monde : Vittel, c’est évidemment le thermalisme, avec sources, usine d’embouteillage, grands hôtels, théâtre, casino, vedettes de passage, mais aussi le sport. Interviews de Guy Drut ou de Marcel Amont, du champion de boxe Georges Carpentier ou de Serge Lama, de catcheurs ou de Romy Schneider, critiques de spectacles, résultats des courses hippiques, foot, rugby, course à pied ou lancer de marteau : le jeune « chef d’agence » de Vittel (il besogne seul, avec un correspondant à la retraite) noircit pages et pages pendant un an et demi.

Mais, en ces temps, existe encore le service militaire. Plus question de faire jouer un quelconque sursis, puisque l’étudiant est devenu journaliste professionnel. Il va donc falloir « y aller »…
« Le plus loin et le moins longtemps possible », suggère la future recrue au capitaine chargé de son incorporation. Pas d’école d’officiers de réserve, donc, ni de service de presse des Armées : ce sera, surprise, un poste de deuxième classe au service du Matériel et des Bâtiments, caserne Lambert, île de La Réunion. Comme secrétaire, « puisque sachant taper à la machine »…

La Réunion est une agréable découverte. Cerise sur le gâteau : le service en question commence ses journées très tôt, mais dispose de ses après-midis. Voici le 2e classe Vaxelaire qui oublie sa miraculeuse vocation pour le tambour (qui lui avait permis d’échapper aux fastidieux et répétitifs « Présentez armes ! », lors de ses « classes » à Montluçon)… ce qui lui permet d’aller se présenter au quotidien local, le Journal de l’Ile de La Réunion. Les essais sont concluants : voici apparaître un être hybride, soldat le matin, journaliste (en short kaki) l’après-midi. Et quand les onze mois de service sont terminés, c’est à La Réunion que Daniel Vaxelaire décide d’inscrire la suite de ses aventures.

Hélas, le Journal de l’Ile d’alors n’est pas un modèle d’ouverture. La Réunion vit encore dans un système politique qui voit le heurt brutal – parfois létal – entre le bloc communiste, piloté par Paul Vergès, et le bloc conservateur, « départementaliste », qui idolâtre Michel Debré. Dans ce contexte tendu, la nouvelle recrue s’égare parfois en des domaines interdits : non, on ne fait pas de compte-rendu des marches dans le feu, c’est pas chrétien, on ne parle pas non plus de contrôle des naissances, même si la population a doublé en vingt ans, c’est indécent, on ne transcrit pas le point de vue des étudiants qui ont manifesté, c’est révolutionnaire…

Au bout de quelques années de ce régime, l’envie d’informer un peu plus équitablement démange le jeune journaliste. C’est dire son enthousiasme quand le hasard lui fait rencontrer Maximin Chane Ki Chune, homme d’affaires, qui rêve lui aussi d’une presse un peu plus tolérante.
Il leur faudra deux ans pour mettre au point ce qui deviendra le Quotidien de La Réunion : technique moderne (les débuts de la composition informatisée, avec une impression rotative offset), équipe solide (rien que pour la rédaction, deux douzaines de journalistes, dont plus de la moitié sont affectés à la « locale », sous la férule de « Vax ») et surtout parole ouverte à tous, sans distinction de parti, de culture, de religion, de sexe… Deux ans durant lesquels Daniel Vaxelaire, qui a évidemment quitté le Journal de l’Ile, occupe sa plume, entre deux séances de travail avec le boss, à un bimestriel gratuit, le Consommateur.

Le Quotidien démarre en septembre 76 : immense fierté, grosse réussite (quelques beaux scoops, comme ce jour où la lave traverse le village de Piton Sainte-Rose : une carte des coulées, plusieurs pages spéciales dans le Quotidien, contre une unique photo, floue, « en face »…), mais aussi travail exténuant, et oppositions puissantes.
Le Journal de l’Ile s’est modernisé et consolidé lui aussi. Surtout, les forces conservatrices veulent tordre le cou à ce quotidien qui donne la parole aux « cocos » (ni plus ni moins qu’aux autres pourtant), et est donc par définition « antinational ». Pressions sur les annonceurs, sournoiseries des banques et manoeuvres diverses aboutissent, au bout de neuf mois seulement, à un ultimatum : l’entreprise est en difficulté financière et, loin de l’aider à passer ce mauvais cap – et préserver 120 emplois – les financiers exigent sa liquidation.

Un plan de redressement est ficelé en une nuit. Il prévoit de lourds dégraissages d’effectifs, dont la moitié de la rédaction. Daniel Vaxelaire devait prendre le poste de rédacteur en chef, mais il ne s’en sent pas la force : il s’inscrit dans le triste lot des « licenciés volontaires » (à une époque où, rappelons-le, il n’y a pas d’indemnité de chômage à La Réunion).
Cependant, le sacrifice de la moitié de la rédaction et d’une bonne partie du personnel technique ne suffit pas : le tribunal de commerce prononce quand même la liquidation du Quotidien. Commencent des semaines d’un bras de fer « historique » : le personnel, licenciés volontaires comme non licenciés, se mobilise pour occuper les locaux et publier des éditions « pirates », « Vax » fait appel à ses amis artistes pour organiser un énorme concert gratuit au Ritz, des T-shirts de protestation sont imprimés, une grande manifestation s’organise dans Saint-Denis… Et la justice craque : elle n’ose pas faire appliquer la liquidation, le Quotidien se remet à paraître, édition allégée, rédaction aussi, il finira par être autorisé à vivre normalement.

Passée cette crise, les partants peuvent donc enfin s’en aller. Pour Daniel Vaxelaire, c’est à nouveau « le plus loin possible » : le voici à Mayotte, pour une épopée maritime qui faillit tourner au naufrage, puis en Inde et à Ceylan, avec un ancien photographe du Quotidien. Il a quand même la présence d’esprit de passer un accord avec un ami journaliste… du JIR : il lui enverra des cartes postales régulièrement, signalant ses prochaines étapes, au cas où…

Heureuse inspiration. Après les Seychelles, Bombay, le Gujerat, le Rajasthan, Delhi, Agra, Bénarès, Calcutta, Pondichéry et quelques autres étapes, un télégramme l’attend en poste restante à l’ambassade de France à Colombo, Sri Lanka : un éditeur veut lancer une grosse collection historique à La Réunion et il cherche un journaliste expérimenté pour diriger l’équipe… Rentré par le premier avion, Daniel Vaxelaire embauche son copain photographe, et deux anciens naufragés volontaires du Quotidien : ce sera le Mémorial de La Réunion, sept volumes, 3572 pages en trois ans, un monument historique qui restera dans la mémoire de l’île, et celle de ses auteurs. Et le début d’une autre vie pour le rédacteur en chef…

Car le Mémorial de La Réunion, malgré l’abondance de ses rubriques, ne peut accorder à certains sujets toute la place dont ses rédacteurs aimeraient disposer. Ainsi le volume 1 ne dispose que d’une vingtaine de pages pour traiter la chasse aux noirs marrons, cette guerre civile qui a ensanglanté les Hauts de l’île de l’époque de Labourdonnais à la Révolution française, alors que des centaines de comptes-rendus sont conservés aux Archives. Daniel Vaxelaire se le jure : dès qu’il en aura l’opportunité, il consacrera un livre à ce thème. Document ou fiction, il ne sait pas encore.

Promesse tenue : le Mémorial bouclé, voici que notre homme se lance dans une triple vie. Il est revenu dans la presse pour devenir journaliste, puis rédacteur en chef de l’édition réunionnaise de Télé 7 Jours. Il est l’époux comblé de Patricia, une jolie mauricienne qui lui donnera deux fils et d’infinies joies. Et dans le temps qui lui reste entre travail et famille, généralement entre cinq et sept heures du matin, il noircit patiemment les pages, à la machine à écrire, de ce qui sera finalement un roman, Chasseur de Noirs. Ecrire, en ces années sans informatique, c’est taper, si possible en faisant le moins de fautes de frappe possible, relire, corriger à la main, puis retaper le tout au propre, cinq, dix fois, jusqu’à ce que l’auteur soit satisfait (ou épuisé)…

La chance s’en mêle. Gallimard avait refusé le manuscrit (mais le rééditera plus tard dans sa collection Folio, c’est dire si le sort est taquin), mais un historien de la Sorbonne s’intéresse au sujet, lit le texte, s’enthousiasme suffisamment pour le confier à des amis qui sont en train de lancer une maison d’édition : Chasseur de Noirs sera le deuxième titre publié par Lieu Commun, juste derrière un roman de Jacques Lanzmann. Beau voisinage.
La presse est abondante, louangeuse. L’heureux auteur ne s’en rend pas vraiment compte, ne recevant des louanges parisiennes qu’un écho amoindri et tardif : c’est loin, La Réunion. Voici qui l’encourage, cependant, à écrire une suite, L’affranchi, laquelle relate, cent ans après les péripéties du Chasseur de Noirs, la complexe quête de soi d’un jeune métis dans l’île Bourbon d’avant l’abolition. Succès à nouveau, donc il faudrait penser au troisième, mais sur quel thème ?

Un copain chercheur de trésors, le légendaire Bibique, suggère l’épopée de Libertalia, la république pirate de Madagascar. Mais un coup de théâtre vient bousculer le programme : les éditeurs du Mémorial sont au Maroc, voudraient y produire une encyclopédie thématique, à condition que Daniel vienne piloter le projet.
Après une intense réflexion – cinq minutes au moins – Patricia et Daniel acceptent. Les voici partis avec deux cantines, deux valises et un bébé vers un pays inconnu et trois ans d’une tâche exaltante et prenante : douze volumes, autant d’équipes et plus de 150 auteurs, dont il faut stimuler, discipliner, organiser la production, gérer l’illustration, les cartes géographiques, la maquette…

Comme à La Réunion, la petite machine à écrire portable crépite bien avant l’aube dans un appentis de la maison de Rabat (pour ne pas perturber le sommeil de la petite famille) et de ce labeur naîtront Les mutins de la liberté. Plus quelques productions annexes, car depuis quelques années, Daniel s’est aussi lancé dans le scénario d’une saga napoléonienne en BD, Les Fils de l’Aigle, dont le dessin est assuré par le talentueux Michel Faure. Hélas, les déplacements de l’un et de l’autre, à une époque où Internet n’existait pas, distendront les liens au bout de cinq albums : difficile de travailler en équipe quand on ne se voit jamais.

Les mutins de la liberté sont un troisième succès, salué par la presse de tous bords, droite et gauche trouvant leur bonheur dans l’audacieux projet des « Libertarii ». Le livre passera même à deux doigts du « gros best-seller », ce que l’auteur n’apprendra que quinze ans plus tard. Une chance peut-être : devenir un écrivain adulé par Paris aurait entraîné certaines contraintes (comme faire le beau devant les caméras) qui n’étaient vraiment pas la tasse de thé de Daniel.
La suite lui donnera raison : si Les mutins de la liberté ont été eux aussi édités par Lieu Commun, voici que la maison est rachetée par plus gros poisson, l’équipe est dispersée. Fin d’un contact amical et fructueux. Michel le Bris, auteur prolifique et créateur du festival Etonnants voyageurs de Saint-Malo, n’abandonne pas le jeune auteur qu’il avait remarqué à la sortie des Mutins, le pilote pour son livre suivant vers une maison prestigieuse, Jean-Claude Lattès. C’est là que paraîtront les Chasseurs d’épices : lancement à Saint-Malo, palace, croisière sur la Rance, champagne et fruits de mer, Nicole Lattès reçoit comme une princesse.

Las, quand Vaxelaire met la dernière main à l’ouvrage suivant, Grand-Port, il est surpris de ne pas avoir de réponse de Lattès. Et pour cause : maison rachetée, patronne congédiée ! Le fidèle Le Bris mène son lointain ami (la famille, enrichie d’un fiston, est revenue à La Réunion, où Daniel est désormais directeur de la rédaction de deux magazines) chez Phébus, très belle maison d’édition spécialisée dans les récits de mer et d’aventure. A nouveau, presse élogieuse (« Choix » du Nouvel Obs, sélection pour le prix des lectrices de Elle, Figaro Magazine, somptueux cocktail au Lutecia…) et rêves d’avenir. Sauf que Phébus, à son tour, est racheté et son fondateur, Jean-Pierre Sicre, mis d’office à la retraite ! Ce sera alors Flammarion, pour les ouvrages suivants. Mais après ces péripéties à répétition, les liens se sont distendus : l’auteur ne va pas assez souvent montrer sa bobine dans le Quartier Latin. Il préfère la vie au soleil, dans la verdure et en famille, comprenne qui voudra.

Il va donc peu à peu se rabattre vers des productions d’intérêt plus local : documents historiques, guides touristiques, bandes dessinées à nouveau, théâtre, radio, documentaires télévisés et même de la chanson, des comédies musicales…
Il répète souvent qu’il n’y a pas une écriture noble, celle des romans, opposée à des écritures subalternes, que toutes les manières de conter une histoire sont bonnes, pourvu que le public visé y trouve du plaisir. Il a d’ailleurs beaucoup produit pour la jeunesse, avec une dizaine de titres publiés chez Castor, l’édition junior de Flammarion, plus de nombreux albums chez Orphie, éditeur bourguignon et ultramarin, qui a repris la réédition de tous les anciens ouvrages, ce qui fait que Vaxelaire est un des rares auteurs à voir la quasi totalité de son œuvre continuer à vivre… à commencer par Chasseur de Noirs, devenu une sorte de morceau de patrimoine, dont il est incapable de compter les éditions.

Il a fini par quitter la presse, le ton des magazines où il œuvrait ne correspondant plus guère à son idée du journalisme, a créé une petite entreprise de communication, qui lui a permis de participer, entre autres, à des projets multimédias : il faut être de son temps.

Il a légèrement levé le pied, ces dernières années, mais se lève toujours aux aurores, même si ce n’est pas tous les jours pour écrire. Sa machine ne fait plus de tintamarre – il s’est mis à l’informatique dès les premiers balbutiements de l’ordinateur – et il peut envoyer un manuscrit loin dans le monde d’un clic, au lieu d’aller quémander les bonnes grâces d’un passager à Gillot pour transporter deux kilos de paperasse, comme au bon vieux temps.

Sa plus grande surprise : de voir à quel point la bibliothèque qui rassemble ses travaux s’est remplie, sans qu’il s’en aperçoive vraiment. Sa plus grande fierté : d’avoir donné aux siens, sinon la fortune (ce métier n’enrichit vraiment pas son monde), de moins un peu de fantaisie. Sa meilleure récompense : le regard de Patricia. Sa plus grande ambition : donner un jour, à un lecteur (ou une lectrice) autant de plaisir qu’il en a eu quand, enfant, il s’embarquait, un jour de pluie, dans un grand roman…

Patricia et Daniel Vaxelaire

Lettres de Lémurie # 3 (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Cet album est à la fois un album jeunesse et un outil pédagogique idéal pour apprendre l’Histoire de La Réunion.
Seul ou accompagné l’enfant pourra s’approprier l’Histoire de l’île.
Basé sur les connaissances de Daniel Vaxelaire, auteur ayant plusieurs ouvrages sur le sujet. Il a su dans cet ouvrage adapté sa plume pour une meilleure compréhension de l’Histoire de l’île de La Réunion.
Au fil des pages, le lecteur testera ses acquis à travers des quiz.
Cet ouvrage s’adresse à des lecteurs de 7 à 77 ans (et bien plus encore !) désireux de connaître l’histoire de cette île intense.

Prix et distinctions
2014 Légion d’honneur
2013 Prix de la BD de La Réunion pour Saint-Ange et Sitarane – Les buveurs de sang
2012 Prix Vanille – BD pour Saint-Ange et Sitarane – Les buveurs de sang
2012 Dauphin d’argent aux 3e Cannes Corporate Media & TV Awards pour le film Les années-lumière de La Réunion
2010 Prix du livre du livre du tourisme pour Encyclopédie du Littoral – Les rivages du Conservatoire
1999 Prix Amerigo Vespucci (Saint-Dié) pour En haut la liberté
1997 Grand Livre du Mois pour L’affranchi

BIBLIOGRAPHIE COMPLÈTE

Ouvrages référencés sur le site de La Réunion des Livres

Romans et récits
L’homme de nulle part et autres histoires, nouvelles, Orphie, 2012
Les buveurs de sang, ou la véritable histoire de Sitarane, roman, Orphie, 2008
Mirages d’Egypte, roman historique, Phébus, 2005
Supplique pour ne pas être pendu avec les autres pirates, roman, Orphie, 2003
Une si jolie naufragée, le roman vrai de Paul et Virginie, récit historique, Flammarion, 2001
L’île des damnés, roman, Flammarion, 1999
Bleu nuit ou Les sept vies du moine, roman, Flammarion, 1996
Grand Port – Tome 2 – Le temps des frayeurs (Cap Malheureux), roman historique (suite du précédent), Phébus, 1994
Grand Port – Tome 1 – Le temps des victoires (Grand-Port), roman historique, Phébus, 1993
La grotte, in Le Serpent à Plumes – Numéro 16 – La nuit, Collectif, Le Serpent à Plumes – Récits et fictions courtes. Nouvelles. 1992 – 1995 (Coffret de 4 numéros)
Les chasseurs d’épices, récit historique, JC Lattès, 1990. Édition de poche chez Payot, collection Points. Réédition Orphie 2001 et 2003
Les mutins de la liberté, roman historique, Lieu Commun 1986. Livre de Poche (épuisée), réédition Phébus 1995 Traductions espagnole et portugaise, 2001
L’affranchi, roman historique, Lieu Commun 1984. Nouvelle édition Phébus, 1996, Grand Livre du Mois 1997
Chasseur de Noirs, roman historique, Lieu Commun, 1982. Édition de poche chez Gallimard Folio Junior (3 rééditions). Rééditions Flammarion (collection Gulliver, 2000) et Orphie (2000, 2004, 2009, 2012, 2014)

Guides, ouvrages techniques, documentaires, encyclopédies
Maximin Chane Ki Chune, le gamin aux pieds nus, biographie, Orphie, 2018
Le Port il y a cent ans et un peu plus…, Éric Boulogne, Jean-François Hibon de Frohen, beau livre, Orphie, 2017
L’hôtel de la Préfecture de La Réunion, Thierry Nicolas Tchakaloff, Bernard Leveneur, Laurent Hoareau, photographies de François-Louis Athénas, beau livre, Epsilon, 2017
L’essentiel sur La Réunion en 5 minutes et 100 idées, documentaire, Orphie, 2015
Le Sud en 1900 (La Réunion lontan), Éric Boulogne, Jean-François Hibon de Frohen, beau livre, Orphie, 2015
Une île, sa banquedessins d’Olivier Giraud, documentaire, Orphie, 2013
Mi koz kreol – Je parle créole – Initiation en sourires et en chansons au créole de La Réunion, Daniel Honoré, Christophe Exiga, documentaire, Orphie, 2013
Saint-Denis en cartes (La Réunion lontan), Éric Boulogne, Jean-François Hibon de Frohen, beau livre, Orphie, 2013
Une île en cartes (La Réunion lontan), Éric Boulogne, Jean-François Hibon de Frohen, beau livre, Orphie, 2012
Encyclopédie du littoral – Les rivages du Conservatoire, beau livre Actes Sud – Nature – Conservatoire du littoral, 2010, Prix du livre du tourisme 2010
C’était hier – Volume 7, documentaire, Orphie, 2011
C’était hier – Volume 6, documentaire, Orphie, 2011
C’était hier – Volume 5, documentaire, Orphie, 2012
C’était hier – Volume 4, documentaire, Orphie, 2011
C’était hier – Volume 3, documentaire, Orphie, 2011
C’était hier – Volume 2, documentaire, Orphie, 2010
C’était hier – Volume 1, documentaire, Orphie, 2010
La belle au soleil dormant, La Réunion à travers les cartes postales, illustrations Arno Bazin, beau livre, Orphie 2009.
L’Île Maurice en 200 questions et réponses, documentaire, Orphie 2008.
La Réunion entre ciel et mer – Zone Ouest, photographies de Frédéric Vaxelaire, beau livre, Orphie, 2009
La Réunion entre ciel et mer, photographies de Frédéric Vaxelaire, beau livre, Orphie, 2009
La route du Sud – Histoire d’une famille réunionnaise – Des générations de Caillé, documentaire, 2006
La Réunion, terre d’industrie, documentaire, Editions ADIR, 2006
Stella Matutina, les racines du futur, documentaire, Editions du Musée de Stella Matutina, 2006
La mort et les morts à l’île de La Réunion et dans l’océan Indien, Jacques Brandibas, Philippe Reigner, Georguis Gruchet, documentaire, L’Harmattan – Questions contemporaines, 2005
Jean Colbe – L’oeil du témoin – La Réunion des années 50 à 70, beau livre, Orphie, 2005
La Réunion, 4 siècles de défis : histoire des travaux publics depuis le XVIIe siècle, documentaire, Océans Éditions, 2004
– Histoire d’une île, histoire d’une banque – De 1853 à nos jours, documentaire, Océans Éditions, 2004
La Réunion panoramique, photographies de Roland Bénard, beau livre, Orphie, 2001, 2010.
Le grand livre de l’histoire de La Réunion – 2 – De 1848 à 2015, documentaire, Orphie, 1999, 2000, 2004, 2009, 2011, 2013, 2016, 2017
Le grand livre de l’histoire de La Réunion – 1 – Des origines à 1848, documentaire, Orphie, 1999, 2000, 2004, 2009, 2011, 2013, 2016, 2017
La Pointe au Sel – Île de La Réunion, livret-guide pour le Conservatoire du Littoral, Actes Sud, 1999
La Réunion, île métisse, illustrations de Noor Akhoun, documentaire Éditions Noor Akhoun et Vilo, 1997, 2000, 2002, traduction en allemand pour Éditions Bucher, 1997
La Réunion – Encycloguide, guide touristique, Orphie, 1995 , 1998, 2004, réédition entièrement revue et corrigée 2007, 2008, 2012, 2016, 2018
Grands domaines, documentaire, Région Réunion, 1997
Trésors ! Le patrimoine caché de La Réunion, documentaire, Azalées Éditions, 1996
Paysages et animaux de l’île de La Réunion, dessins de Marie Winter, documentaire, Azalées Éditions, 1993, 2005
21 jours d’histoire – Les grands événements qui ont construit La Réunion, documentaire, Azalées Éditions – Maison du Monde , 1992 (4 rééditions), réédition revue, corrigée et complétée Orphie 2005, 2008, 2015
Île de La Réunion – Reflets du temps, photographies de Patrick Robert, beau livre, Azalées éditions,  1992
Dictionnaire illustré de La Réunion, René Robert, Christian Barat, coauteur (avec Janine Cadet, Jean-Claude Carpanin Marimoutou, Michèle Marimoutou, François Moutou, Maurice Parmantier, Michel Robert et Michel Vignand), dictionnaire en 7 volumes, Diffusion Culturelle de France, 1991 – 1992
La Réunion – L’île aux mille surprises, photographies Jean-Yves Kee-Soon, Roger Serre, Gérard Doyen – Orphie, 1990
La Grande Encyclopédie du Maroc, encyclopédie, GEM Rabat, 1984 – 1988
Le Mémorial de La Réunion, encyclopédie historique en 12 volumes, Australe Éditions, 1979 – 1985, réédition Orphie 2003
Suivez le guide (5) à Mafate,
Yves Mayer, guide de randonnées, Nouvelle Imprimerie Dyonisienne, 1981
Suivez le guide (4) dans l’Est et à Salazie,
Yves Mayer, guide de randonnées, Nouvelle Imprimerie Dyonisienne, 1979
Suivez le guide (3) dans l’Ouest et à Cilaos,
Yves Mayer, guide de randonnées, Nouvelle Imprimerie Dyonisienne, 1978
Suivez le guide (2) dans la région du volcan, Yves Mayer, guide de randonnées, Nouvelle Imprimerie Dyonisienne,1978
Suivez le guide (1) dans la région de Saint-Denis, Yves Mayer, guide de randonnées, Nouvelle Imprimerie Dyonisienne, 1978

Ouvrages pour la jeunesse
Deux fois vingt-et-un jours, contes de l’océan Indien, dessins de Nadia Charles, contes, Orphie, 2018
Contes des îles de l’océan Indien – Les Contes Bleus, dessins de Nadia Charles, contes, Orphie, 2018
Contes des îles de l’océan Indien – Les Contes Verts, dessins de Nadia Charles, contes, Orphie, 2018
Petit abécédaire créole de Akoz à Zourit, dessins d’Olivier Trottignon, album jeunesse, Orphie, 2013
Pirates et corsaires, album jeunesse, Premiers Castor Doc, 2007
Une amitié venue de loin, illustrations de Pascal Grondin, album jeunesse, Académie de La Réunion – Floraisons, 2006
La vieille qui voulait un enfant, illustrations de Solange Guinamard, album jeunesse, Orphie – Contes d’outre-mer, 2005
La cascade infernale, roman, Castor Poche, 2003. Réédition Orphie 2014
Le trésor des forbans, roman, Castor Poche, 2003. Réédition Orphie 2014
La baie des requins, roman, Castor Poche, 2003. Réédition Orphie 2013
100 contes du monde entier, illustrations de Charlotte Gastaut, contes, Flammarion – Jeunesse, 2004
Les Sodarun contre les pollueurs, dessins de Stéphane Berthaud, Océan Éditions – Détente, BD, 2003
15 contes de l’océan Indien, contes, Castor Poche, 2002 et 2003
Les naufragés de la Cigale, roman, Castor Poche, 2002 et 2003. Réédition Orphie 2014
Les pépites d’arc-en-ciel, dessins de Sylvie David, album jeunesse, Orphie, 2001 et 2003
Les portes du mystère, aventure interactive, Orphie, 2001
Une jument dans la guerre, roman, Castor Poche, 2001 et 2003
Les naufragés du ciel, récit, Castor Poche, Flammarion, 2000 et 2003. Réédition Orphie 2014
La chasse aux bilimbis, dessins de Sylvie David, album jeunesse, Orphie, 1999 et 2002
En haut, la liberté, roman, Castor Poche, Flammarion, 1999. Prix Amerigo Vespucci, Saint-Dié, 1999. Rééditions 2000, 2002, 2003, 2005, 2008, 2012
Trois contes fous, album jeunesse, Océan Éditions, 1994

Bandes dessinées comme scénariste
Matt Lahargne – Tome 1 – Les élans d’Hildegarde, dessins d’Olivier Giraud, BD, Orphie, 2012
Saint-Ange et Sitarane, les buveurs de sang, dessins d’Olivier Giraud, BD, Orphie, 2011. Prix Vanille 2012
L’histoire de La Réunion en bande dessinée – Volume 4 – 1974-1984 – La Réunion des années 80, BD, Jacaranda, 1984 et 1997. Réédition Orphie 2012
Les fils de l’Aigle – Tome 5 – Le camp de Boulogne, dessins de Michel Faure, BD, Hachette Jeunesse, Humanoïdes Associés, 1989. Réédités par Arboris 1995 et par Theloma 2004. Traduction en danois, allemand et hollandais
Les fils de l’Aigle – Tome 4 – Capucine, dessins de Michel Faure, BD, Hachette Jeunesse, Humanoïdes Associés, 1988. Réédités par Arboris 1994 et par Theloma 2004. Traduction en danois, allemand et hollandais
Les fils de l’Aigle – Tome 3 – Les sables de Denderah, dessins de Michel Faure, BD, Hachette Jeunesse, Humanoïdes Associés, 1987. Réédités par Arboris 1994 et par Theloma 2004. Traduction en danois, allemand et hollandais
Les fils de l’Aigle – Tome 2 – Les collets noirs, dessins de Michel Faure, BD, Hachette Jeunesse, Humanoïdes Associés, 1986. Réédités par Arboris 1994 et par Theloma 2004. Traduction en danois, allemand et hollandais
Les fils de l’Aigle – Tome 1 – La dent du loup, dessins de Michel Faure, BD, Hachette Jeunesse, Humanoïdes Associés, 1985. Réédités par Arboris 1994 et par Theloma 2003 et 2004. Traduction en danois, allemand et hollandais
La fin de La Buse – Tome 2, dessins de Michel Faure, BD, Arts Graphiques Modernes, 1979. Réédition Orphie 2005
La Buse et la Vierge du Cap – Tome 1, dessins de Michel Faure, BD, Arts Graphiques Modernes, 1978. Réédition Orphie 2005

Direction de collection
Roland Garros, l’embrasseur de nuages (1898-1918), à travers les cartes postales et les cartes-photos, Éric Boulogne, documentaire, Orphie – Histoire, 2013
Locomotive ! Le petit train de l’île de La Réunion, Éric Boulogne, documentaire, Orphie – Histoire, 2012
L’île Bourbon, l’île de France et Madagascar – Recherches historiques 1880 , Honoré Lacaze, documentaire, Orphie – Les introuvables de l’océan Indien, 2009
Matzingoro ou L’esclave Djioloff, André Berthet,  Daniel Vaxelaire (Préface), Orphie – Les introuvables de l’océan Indien, 2008 (1885)
Rakoto, fils du zébu, Inre Michela, roman jeunesse, Orphie – Autour du monde jeunesse, 2005
Vanille Bourbon, parfum d’une île : La Réunion (tome 4), texte d’Alain de Floris, photographies de Noor et Jonas Akhoun, recettes de Jules Bénard, documentaire, Éditions Noor Akhoun, 1999

Titres non référencés sur le site de La Réunion des Livres

Autres publications
Fiches Réunion, Daniel Vaxelaire, Orphie, 2012
Série de 24 fiches documentaires de 8 pages sur La Réunion : 1 : Pitons, cirques et remparts, 2 : La cuisine créole, 3 : Petit vocabulaire créole, 4 : Les plus beaux poissons, 5 : Les maisons créoles, 6 : Le piton de la Fournaise, 7 : Fruits de La Réunion, 8 : Fleurs du jardin créole, 9 : Une montagne dans la mer (construction géologique), 10 : Au temps des pirates, 11 : Quelques plantes médicinales, 12 : Randonnées, 13 : Grandes dates de l’histoire, de la découverte au temps du café, 14 : Grandes dates de l’histoire, le temps de l’esclavage, 15 : Grandes dates de l’histoire, de 1848 à nos jours, 16 : La vanille, un miracle réunionnais, 17 : Les Réunionnais, d’où viennent-ils ?, 18 : Animaux de La Réunion, 19 : Les gouverneurs de La Réunion, de Regnault à Capagorry, 20 : Oiseaux de La Réunion, 21 : Cilaos, 22 : Mafate, 23 : Salazie, 24 : Les cyclones
Mémoires de Saint-Denis, onze portraits de personnages historiques, Daniel Vaxelaire, Journées du Patrimoine, 2010
Parc et caserne d’artillerie : DDE et RFO – St-Denis, Daniel Vaxelaire, Direction départementale de l’équipement de La Réunion. 2006

Autres contributions
Roland Garros au Panthéon 2018, Eric Boulogne, Mario Serviable, Daniel Vaxelaire (Préface : Pourquoi peut-on admirer Garros ?), ARS Terres Créoles. 2018.

Spectacles
Vent du large, pièce de théâtre, mise en scène de Jean-Marc Galera, représentations à l’ODC Théâtre de Champ Fleuri, 2006
Séga pluriel, spectacle musical ODC Réunion, scénario et dialogues, Théâtre de Saint-Gilles, 2000
Nos ancêtres les Gaulois, interprété par des chorales de lycéens et collégiens : première représentation aux Choralies de Nantes en juin 2000, autres représentations en juillet 2000 à La Réunion, Théâtre de Champ-Fleuri
La vie d’un arbre, d’après une nouvelle du même nom, Théâtre du Grand Marché, 1996

Chansons
– Chanson pour la comédie musicale Paul et Virginie, ODC, 2002
– Chansons (textes) pour l’interprète Nico, 2004, 2005, 2006, 2010, 2011. CD Les maudits jours, 2010. CD Les 109 – L’opium du peuple, 2011
– Chansons pour le groupe Lé Gabié (Christophe Exiga), 2005

Jeux éducatifs
– Kaleido – Couleurs du monde – Ile de La Réunion, un jeu éducatif pour toute la famille, Éditions Azalées, 1993

Documentaires pour la télévision
Les années-lumière de La Réunion, sur l’histoire de l’électricité à La Réunion, réalisé par Alexandre Boutié, Films 1,2,3, diffusion Réunion Première 2011. Dauphin d’argent aux 3e Cannes Corporate Media & TV Awards, octobre 2012
Jean Colbe, l’œil du témoin, diffusion 2011
Jean Couturier, le dernier héros, diffusion sur Antenne Réunion juin 2009
Courbe la tête roseau, Imago, 2006
Mi cause créole, avec Daniel Honoré, documentaire sur le créole réunionnais, tourné par André Waksman 2005, diffusion 2006
C’était hier, 40 émissions documentaires de 3 minutes décrivant les modes de vie à La Réunion dans les années 1970, production Imago, diffusion sur RFO Télévision avril-juillet 2004
Les bâtisseurs d’îles, docufictions sur l’histoire de La Réunion et des Mascareignes, réalisé par Jim Damour, ICR, diffusion sur RFO Télévision 1998

Radio et audio, CD
Mi koz kréol (Je parle créole), initiation au créole réunionnais à travers un théâtre radiophonique et musical, avec Daniel Honoré et Christophe Exiga, co-édition RFO-Orphie, 2006. Réédition corrigée et modifiée, 2011
La minute de l’histoire, émission quotidienne sur Radio Réunion, diffusion 2005-2006. Rediffusion par La Réunion Première, 2019
L’océan de tous les rêves, histoire de l’océan Indien, Radio Réunion, émissions quotidiennes, diffusion 2003-2006. Rediffusion par la Radio de la Mer (littoral ouest France), 2010 et par La Réunion Première, 2019
En haut la liberté, mise en ondes de l’ouvrage du même nom, Radio Réunion, janvier 2003
Les contes de l’oncle Vax, série de dix films radiophoniques de dix minutes chacun consacrés à des aventuriers de l’océan Indien, diffusion dans les stations francophones du monde entier, 2002-2003
Miettes de temps, récits, émissions quotidiennes de 4 minutes, diffusion sur Radio Réunion, 2002
L’histoire de La Réunion, coffret de deux CD audio et un livre de 128 pages, coédition Orphie-RFO, 2001
L’histoire de La Réunion, série d’émissions quotidiennes de 4 minutes, 80 semaines, 2000-2001
Lignes de vie, biographies romancées de personnages célèbres, diffusion sur RFO-Radio à La Réunion, 1997 et 1998

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02/01/2019