4ème de couverture
Belle formule : Une histoire et un guide de terrain, pour apprendre et mieux protéger l’univers magique des étangs et points d’eau de l’île. Vous irez de découverte en découverte avec la balade que vous propose Stéphanie Dalleau-Coudert.
4ème de couverture
Dans l’idée de faire mieux et, en remuant ciel et terre, je me suis mis à la recherche des ingrédients de l’avis éternel. Sous l’égide de Dame Nature, je me suis évertué à décrypter ce qu’elle pouvait bien suggérer derrière ses airs de planète abandonnée. Elle m’a assuré qu’elle était la copie conforme de Dame Nature Mentale, sa sœur jumelle. ― Pour qui tu travailles ? insistai-je. ― Je suis des étapes pas à pas, en contradiction avec les intérêts du moment, me répondit-elle théâtralement. ― Un monde en garde alternée ! Il fallait y penser ! lui répliquai-je.
4ème de couverture
« Il y a bien longtemps, avant même l’ère du Goul’, tout au début, dit-on, un homme est tombé par inadvertance du ciel. Il s’appelait Ietsé. Certains poètes chantent qu’il a chuté à force de regarder la beauté de cette terre en qui la mer se confie. Comme il s’était assommé, Souffle empruntant l’arc-en-ciel descendit pour le ranimer. C’était le premier. Le premier à s’évanouir lors de sa rencontre avec l’île – elle était déjà dure à l’époque – et une fois qu’il eut repris ses esprits, le premier à s’y fixer – elle était déjà enchantée. Il n’y avait personne à part lui sur l’île. Il était très heureux d’être là bien qu’il se sentît un peu seul. »
Ietsé Razak n’ignore pas l’origine de son prénom, cet ascendant de légende. Béni par les Dieux et les Ancêtres, oisif sur une terre de misère, ce quadragénaire ne parvient plus à trouver le sommeil. Au fil de ses réminiscences, il nous fait découvrir son Antananarivo, ses ailleurs, et cherche dans cette Ville des mille ambiguïtés les clés de ses insomnies.
Nénuphars, navigations, nourritures et malentendus : le nouveau roman de Johary Ravaloson ne se laisse pas facilement résumer.
4ème de couverture
Voici deux contes aquatiques, l’un malgache et l’autre normand, comme un pont tendu sur l’océan pour se rencontrer.
Ireto misy angano roa, ny voalohany normandy, ny faharoa malagasy, ohatran’ny tetezamita hihavanana.
Un conte normand et un conte malgache sont rassemblés au sein de cet album bilingue qui fait le lien entre les élèves du Pays de Cingal et ceux d’Andranomangatsiaka, dans le cadre d’un projet porté par trois associations normandes et malgaches. L’origine des marées en Normandie se poursuit par le conte des trois bêches, où la sincérité est justement récompensée.
Édition bilingue français/malgache.
4ème de couverture
Certains ont croisé la dame blanche, d’autres ont vu Saint Expédit. D’aucuns ont fait un détour dangereux pour éviter une corbeille de fruits posée à un carrefour, d’aucuns ont été séduits par une sirène… Pendant que Sitarane rôdait dans l’ombre. Cet album collectif rassemblant la crème de la crème de l’océan Indien vous invite à découvrir dix-neuf récits complets à l’authenticité non attestée. Quelles histoires !