4ème de couverture
« Tu as un oiseau du paradis, toi ? » Le Petit Prince a une soeur, la Petite Princesse, qui suite à des évènements graves quitte sa planète disque invisible même au meilleur des astronautes. Elle visitera 6 planètes avant de tomber dans le jardin de mon hôpital. La Petite Princesse cherche un oiseau de Paradis pour rendre vivant le haut des arbres sur sa planète sur laquelle ne vivent qu’un Chambellan qui passe son temps à ramasser des cailloux qui brillent, un GroMatou et un écureuil Pikiki qui dorment la plupart du temps. Sa rencontre avec un rat puis un jeune garçon leucémique la conduira jusqu’à moi, médecin urgentiste de garde. « Tu as un oiseau du paradis, toi ? » sera sa première question qui en appellera tellement d’autres. Sans compter que les miennes, questions, n’ont pas eu beaucoup de réponses. Un oiseau de paradis, oui, je crois que j’en ai trouvé un !
4ème de couverture
À l’Université de Tananarive, capitale de Madagascar, Rémy, asocial, paresseux et opportuniste, veut devenir le Président de l’association des étudiants du département où il est inscrit. Ce poste lui donnerait l’occasion de rejoindre son frère qui vit en Europe, et ainsi fuir la maison familiale où sa belle-mère a pris les commandes. Pour espérer arriver à ses fins, Rémy doit gagner la sympathie des autres étudiants dont il a l’habitude de se moquer, en masquant soigneusement sa véritable motivation. Ambition, manipulation, intérêt personnel, traités avec humour à plusieurs degrés par le duo malgache Pov et Dwa, prennent une saveur particulière dans une île secouée depuis des décennies par des coups d’état politiques à répétition.
4ème de couverture
L’étude des fêtes commerciales en terre réunionnaise, de la commémoration du Tricentenaire du peuplement de 1965 à la commémoration officielle de l’abolition de l’esclavage de 1983, révèle concrètement la révolution discrète que connaît l’île de La Réunion durant cette période. 1965 marque l’entrée de l’île dans une phase d’accélération de son développement matériel. Elle est due en grande partie à la bataille politique que mène deux groupes antagonistes : les départementalistes et les autonomistes. Ainsi, la naissance de ces fêtes trouve ses origines dans la stratégie politique des partisans de l’inscription totale de La Réunion dans la France car elles servent de prétexte à l’affermissement de la construction d’une mentalité politique loyale à l’intégration. Puis, sur un temps plus ou moins court, ces fêtes se sont propagées à l’ensemble des grandes villes d’une île dont la superficie n’excède pas les 2512 km². Cette contribution tente de faire connaître une manifestation peu étudiée et donne quelques clés pour comprendre l’évolution des mentalités dans la société réunionnaise de la deuxième moitié du XXe siècle.
Association interprofessionnelle des métiers du livre à La Réunion